Aidée par le Département de l’Eure qui a installé sous la présidence de Sébastien Lecornu, un centre de ressources de prévention de la radicalisation, la ville en a fait une priorité en signant une convention il y a deux ans avec la préfecture et la procureure de la République. Les agents du service public et les partenaires – notamment les bailleurs sociaux – qui sont déployés sur le terrain sont formés afin de percevoir les signaux faibles d’une dégradation de la situation voire d’un basculement vers le radicalisme religieux ou sectaire. Un groupe de travail nominatif a été mis en place et permet de suivre notamment les publics les plus jeunes.