Un développement volontariste des mobilités douces
L’utilisation systématique de la voiture individuelle en ville, souvent pour de courts trajets et avec une seule personne à bord, est particulièrement contre intuitif tant pour la planète et même pour la santé publique si l’on prend en compte les particules fines issues du diesel. C’est également un facteur important de réchauffement climatique : le transport en général représente environ un tiers de nos émissions domestiques. La vitesse peut aussi faire l’objet d’une réduction. Pour favoriser leur acceptation, ces zones doivent faire une large place aux mobilités douces, en particulier les vélos.